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Le portrait du mois de septembre : Judicaël Rellier

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Le portrait du mois de septembre : Judicaël Rellier

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Le portrait du mois de septembre

Judicaël Rellier, salarié du comité du Puy-de-Dôme (63)

F.B : Peux-tu te présenter rapidement ainsi que ton parcours de badiste ?

Je m’appelle Judicaël Rellier, j’ai 40 ans, marié et j’habite à Aubière à côté de Clermont Ferrand.

J’ai commencé le bad à l’âge de 14 ans à Issoire (63) ; depuis je n’ai quasiment pas arrêté.

Joueur et dirigeant à Issoire à mes débuts et depuis 2005, joueur et dirigeant au Volant Des Dômes. Le VDD m’a permis de jouer une dizaine d’années en N2.

Je suis également juge-arbitre mais peu pratiquant !

Il y a 4 ans, j’ai mis la pratique compétitive du bad de côté pour pratiquer la course à pied de façon intensive. Mais l’envie de pratiquer le bad revient !

F.B : Comment es-tu passé de joueur à salarié du badminton ? Où et quand a eu lieu le déclic ?

J’ai commencé à entraîner bénévolement au club d’Issoire. Ensuite, j’ai intégré l’ETR de la ligue d’Auvergne et j’ai obtenu mon BE1 en juin 2005.

Grâce au président de la ligue d’Auvergne de l’époque (Pascal Chevereau) j’ai eu l’opportunité d’obtenir un emploi au sein de la ligue en septembre 2005.

Après avoir partagé mon emploi entre la ligue d’Auvergne et le comité 63 de 2005 à 2010, j’ai basculé entièrement au comité 63 en septembre 2010.

F.B : Tu travailles donc pour le comité du Puy-de-Dôme. Peux-tu nous en dire plus sur tes missions ?

Mes actions sont assez variées, c’est ce qui me plait dans ce métier.

En résumé, mon emploi se décline de la façon suivante :

– 20 à 25% sur les jeunes : Entraînement hebdomadaire, stages, accompagnement en compétition

– 15 à 20% : mise à disposition pour la ligue avec des missions de détection

– 30% administratif : Mails, compta, subventions, projets, planning, réunions…

– 25 à 35% sur le développement : Emploi, création et suivi de Groupements d’Employeurs, formations, gestions des compétitions, suivi des clubs…

F.B : Le métier d’agent de développement au sein des comités est en constante évolution. Comment envisages-tu ton poste dans le futur ?

La notion de développement est assez large et prend de plus en plus d’importance dans les comités.

Actuellement le comité sollicite les salariés des 3 groupements d’employeurs que nous avons créés pour nous aider à mettre en place différentes actions (stages, accompagnement en compétitions, formations, gestions des compétitions…), ce qui me permet d’avoir un peu de temps sur le développement.

A moyen terme, l’idée est que je puisse avoir encore plus de temps pour mettre en place des actions sur la création de clubs et la fidélisation.

F.B : En plus de cela, tu réalises également quelques missions pour le compte de la ligue ? Quelles sont-elles ?

Je suis chargé de la détection en collaboration avec Olivier Aninat et Romain Hugel, les responsables du pôle espoir et du collectif ligue.

Mon rôle est de repérer les plus jeunes (poussins et benjamins surtout) sur les différentes compétitions de référence (TRJ, CIJ, Top Elite, CRJ) afin de pouvoir les intégrer sur les différents dispositifs mis en place par la ligue. (Projet Jeunes Détectés, Dispositif Avenir, Collectif ligue, Top Elite).

Je m’occupe également de la gestion et de l’organisation du DAR, stage PJD, Top Elite.

Judicaël s’occupe notamment du dispositif PJD pour le compte de la ligue, en collaboration avec les deux entraîneurs du pôle espoirs.

F.B : Outre tes missions ponctuelles à la ligue, peux-tu nous expliquer comment fonctionnent les relations entre le comité et la ligue au quotidien ?

Les relations entre le comité 63 et la ligue sont très bonnes. Que ce soit pour mes missions ligue ou comité je suis régulièrement en relation avec les salariés de la ligue et ça se passe très bien. Les échanges sont toujours intéressants et productifs.

Nous essayons de répondre au mieux à leurs sollicitations et nous travaillons dans le même sens. 

La fusion des ligues a permis au comité 63 de se développer plus rapidement en profitant de l’expérience d’une ligue importante.

F.B : Conseillerais-tu à un(e) jeune badiste passionné(e) de badminton d’en faire son métier ? Pourquoi ?

Oui, car travailler de sa passion, c’est un privilège !

F.B : Que peut-on te souhaiter pour la saison à venir ?

En tant que professionnel, c’est de ne plus porter de masque dans un gymnase !

En tant que joueur, reprendre la compétition sans blessure et gagner le Championnat Régional Vétérans !!!

Retrouvez tous les portraits réalisés dans la plume de l’AURA dans l’onglet dédié